18/02/2016
Gracile
J'ai cru le toucher du doigt.
Mais pourtant elle me l'a bien dit
qu'il est fragile l'Infini,
avant de pendre ses jambes,
à son cou.
Et raser pour la bonne cause
Si tu pouvais te rendre
au cimetière des souvenirs
pour enterrer 6 pieds sous terre
l’existence même de mon désir.
Oublier tous les mots dits,
les caresses et les doux cris,
les sourires en catimini,
toute l’histoire qui nous lie.
Alors je pourrais espérer
te faire rire à nouveau
et peut-être t’emmener
à l’autel du ranouveau.
Le massage
Je ne sais pas trop pourquoi je me suis laissée tenter par un massage relaxant, proposé par la nouvelle employée
de mon salon d'esthétique. Habituellement je n'ai pas de temps à perdre dans ce genre de choses.
Peut-être le sourire et la blondeur candide de cette jeune femme, fraîchement embauchée.
Lorsque je m'allonge sur la couche dans la cabine, je suis surprise de la voir fermer la porte et fermer
le petit verrou. Puis elle me dit qu'il vaut mieux tout enlever, y compris ma (toute) petite culotte
pour une meilleure relaxation.
- Je vais mettre une serviette si cela vous gêne.
le petit verrou. Puis elle me dit qu'il vaut mieux tout enlever, y compris ma (toute) petite culotte
pour une meilleure relaxation.
- Je vais mettre une serviette si cela vous gêne.
Je m'allonge sur le ventre et elle commence à me masser les pieds. Etant chatouilleuse et crispée,
il me faut un moment pour me détendre. Magali -c'est le prénom de la masseuse- baisse alors légèrement le son
de la douce musique d'ambiance et tout en m'appliquant un peu d'huile essentielle me dit avec un petit sourire :
- ce qui est bien, c'est que personne ne sait ce qui se passe dans une cabine de massage une fois
la porte close.
Puis elle remonte lentement le long de mes jambes. Me masse longuement un mollet, puis l'autre.
Arrivée au haut des cuisses, sa main effleure mon entre-cuisse plusieurs fois, l'air de rien comme
si cela n'était pas fait exprès. Mais sa main semble comme attirée par là, comme si c'était un passage obligé pour
aller de mes cuisses à mon dos.
Elle a retiré la serviette recouvrant mes fesses, l'a pliée en deux dans le sens de la longueur,
et reposée sur moi recouvrant une fesse et une jambe. Elle masse alors le haut de la cuisse
et la fesse découverte. Parfois une de ses mains s'aventure entre mes cuisses et frôle mon pubis
par en dessous. Inconsciemment je me soulève pour que sa main puisse aller plus loin au-dessous
de moi. Je réalise que ce massage pourrait ne pas être qu'une simple remise en forme, mais je ne suis
pas sûre des intentions de la masseuse.
Consciensieusement elle enlève la serviette, la repose de l'autre côté et commence à s'occuper de
mon autre fesse, qui apprécie tout autant ces faveurs.
Elle enlève alors la serviette et la repose sur le bas de mon dos et le haut de mon postérieur.
D'une main elle me masse le dos et passe carrément l'autre entre mes cuisses, sous moi, et de la paume
de sa main me masse doucement le pubis et le sexe. Je réalise alors, qu'au vu de l'hygrométrie ambiante,
elle ne doit plus avoir de doute sur le bien qu'elle me procure.
- Vous pouvez vous retourner maintenant.
Je me mets sur le dos, gênée par ma nudité et la moiteur de mon sexe.
Elle le sent et me recouvre le haut des cuisses avec la serviette pliée en une bande de 15 centimètres.
- Pour que la détente soit totale, je dois vous bander les yeux. Cela vous gêne-t-il ?
Un peu surprise, j'hésite puis accepte, encore toute émue par la douceur des caresses
prodiguées entre mes cuisses.
Elle me saisit alors délicatement les mains et les attache sous la table de massage. Bizarrement,
je me laisse faire sans aucune appréhension.
- Je reviens tout de suite
La masseuse sort de la cabine et me laisse seule, les yeux bandés et les mains attachées
pendant de longues minutes. Puis je l'entends revenir, mais ses pas me semblent plus
lourds. Sa main se pose sur l'intérieur de ma jambe et remonte vers l'intérieur de ma cuisse.
En même temps, je sens quelque chose de lourd sur mon sein qui le caresse délicatement.
Je réalise que ça ne ressemble pas à une main. La chose me caresse le cou et vient
toucher mes lèvres. Je les ouvre timidement et avance ma langue et là, aucun doute
possible : il y a sur ma bouche un membre qui semble tout droit sorti d'un film X
au vu de sa taille ... remarquable.
- ce qui est bien, c'est que personne ne sait ce qui se passe dans une cabine de massage une fois
la porte close.
Puis elle remonte lentement le long de mes jambes. Me masse longuement un mollet, puis l'autre.
Arrivée au haut des cuisses, sa main effleure mon entre-cuisse plusieurs fois, l'air de rien comme
si cela n'était pas fait exprès. Mais sa main semble comme attirée par là, comme si c'était un passage obligé pour
aller de mes cuisses à mon dos.
Elle a retiré la serviette recouvrant mes fesses, l'a pliée en deux dans le sens de la longueur,
et reposée sur moi recouvrant une fesse et une jambe. Elle masse alors le haut de la cuisse
et la fesse découverte. Parfois une de ses mains s'aventure entre mes cuisses et frôle mon pubis
par en dessous. Inconsciemment je me soulève pour que sa main puisse aller plus loin au-dessous
de moi. Je réalise que ce massage pourrait ne pas être qu'une simple remise en forme, mais je ne suis
pas sûre des intentions de la masseuse.
Consciensieusement elle enlève la serviette, la repose de l'autre côté et commence à s'occuper de
mon autre fesse, qui apprécie tout autant ces faveurs.
Elle enlève alors la serviette et la repose sur le bas de mon dos et le haut de mon postérieur.
D'une main elle me masse le dos et passe carrément l'autre entre mes cuisses, sous moi, et de la paume
de sa main me masse doucement le pubis et le sexe. Je réalise alors, qu'au vu de l'hygrométrie ambiante,
elle ne doit plus avoir de doute sur le bien qu'elle me procure.
- Vous pouvez vous retourner maintenant.
Je me mets sur le dos, gênée par ma nudité et la moiteur de mon sexe.
Elle le sent et me recouvre le haut des cuisses avec la serviette pliée en une bande de 15 centimètres.
- Pour que la détente soit totale, je dois vous bander les yeux. Cela vous gêne-t-il ?
Un peu surprise, j'hésite puis accepte, encore toute émue par la douceur des caresses
prodiguées entre mes cuisses.
Elle me saisit alors délicatement les mains et les attache sous la table de massage. Bizarrement,
je me laisse faire sans aucune appréhension.
- Je reviens tout de suite
La masseuse sort de la cabine et me laisse seule, les yeux bandés et les mains attachées
pendant de longues minutes. Puis je l'entends revenir, mais ses pas me semblent plus
lourds. Sa main se pose sur l'intérieur de ma jambe et remonte vers l'intérieur de ma cuisse.
En même temps, je sens quelque chose de lourd sur mon sein qui le caresse délicatement.
Je réalise que ça ne ressemble pas à une main. La chose me caresse le cou et vient
toucher mes lèvres. Je les ouvre timidement et avance ma langue et là, aucun doute
possible : il y a sur ma bouche un membre qui semble tout droit sorti d'un film X
au vu de sa taille ... remarquable.
La masseuse rit et m'explique alors que j'ai été choisie pour participer à un concours.
Si je reconnais, avec seulement la bouche et la langue, à qui appartient ce membre
fort respectable, je gagne un voyage d'une semaine au Luxembourg en demi-pension.
Pour m'aider elle me donne 5 noms possibles :
- Bill C.
- DSK
- Georges T.
- Rocco S.
- VGE
Je descends ma langue le long de cette verge tendue et gobe un des oeufs lestement.
La peau en semble fort tendue et bien trop lisse pour appartenir à un ancien chef d'état.
DSK ayant d'autres chat(te)s à fouetter et ne connaissant pas de Georges T. ,
je propose mais avec un gros doute : Rocco S. ?
- Eh non, vous avez perdu, me dit la masseuse, mais pas tout.
Tandis que je reprends en bouche le gland généreux, la masseuse glisse délicatement sa main sur mon entrejambe et je ne tarde pas à jouir. Cerise sur le gâteau, on m'offre ... à boire en même temps.
Puis j'entends l'inconnu s'en aller, et une fois que nous sommes seules, la masseuse me découvre les yeux
et me détache.
Un peu plus tard, toujours sous le choc de cette délicieuse séance à la limite de la bienséance, je rentre
un peu gênée à la maison et suis soulagée de voir que mon mari n'est pas seul.
- Chérie, je te présente notre nouveau voisin. Il s'installe dès la semaine prochaine dans la maison
mitoyenne.
- Bonjour Madame, me dit le charmant homme. Je crois que nous avons déjà fait connaissance, non ?
- Non, je ne crois pas. Mais je suis enchantée de vous rencontrer. Bienvenue dans la résidence.
- Oui, je dois me tromper, lance l'homme avec un regard malicieux. Eh bien, enchanté également.
Georges Triquet pour vous servir !